1. Le jour de la tuerie ?
a Le 4 mai
b Le 3 juin
c Le 2 juillet
d Le 1er août
2. Schellenberg est une hauteur qui n’a pas été fortifiée comme il aurait fallu. Toute proche de quel grand fleuve ?
a L’Elbe
b Le Rhin
c La Vistule
d Le Danube
3. On est donc :
a En Silésie
b En Bavière
c Au Hanovre
d En Poméranie
4. Qui commande les Franco-Bavarois ?
a D’Arco
b D’Artagnan
c D’Aurelle de Paladines
d On sait pas, d’autant que ce ne sont pas des Franco-Bavarois mais des Franco-Russes !
5. L’armée du maréchal français de Tallard se rue pour contrer les forces anglo-hollando-germaniques qui s’apprêtent à assiéger la position. Elles sont commandées par :
a Le roi des Anglo-Jutes
b Le duc de Malborough
c Le prince de Mironton
d Le marquis Mirontaine
6. Les deux sont armées sont à peu près de 20.000 hommes chacune. Quelle est la ruse du chef des anglo-hollando-germaniques devant le Schellenberg ?
a Annoncer qu’il vient pour faire la moisson
b Faire croire qu’il s’installe pour en faire le siège
c Laisser propager l’idée que ses troupes sont exténuées
d Montrer aux ennemis une fausse mutinerie de ses troupes
7. Lors des assauts anglo-hollandais, les soldats emmènent avec eux des choses qui doivent les aider à triompher des positions ennemies !
a Des farces
b De la farine
c Des fascines
d Des fariboles
8. A la suite des Anglo-Hollandais se ruent les hommes de Louis le Rouge ! Qui est ce type ?
a Le margrave de Bade
b Le landgrave de Hesse
c Le général Von Seydlitz
d Le maréchal Von Moltke
9. Le chef français tente bien un dernier sursaut pour rejeter l’ennemi avec des troupes qui sont mitraillées et ne peuvent inverser le résultat du combat :
a Les elfes
b Les mages
c Les dragons
d Les fantômes
10. Cette bataille est une sévère défaite pour les Français qui perdent environ 5.000 hommes, presque la moitié des leurs. C’est-à-dire :
a Six fois plus que leurs adversaires
b Trois fois moins que leurs adversaires
c Pratiquement autant que leurs adversaires
d On sait pas le nombre de morts et on s’en fiche !
