1. Jones et McGillis vont distinguer 2 types d'attentes :
a Basées sur la catégorie d'appartenance - Basées sur la personne
b Basée sur les individus - Basées sur la collectivité
c Les 2 réponses sont justes.
d Les 2 réponses sont fausses.
2. Celle qui décrit l'appartenance d'une personne à un groupe, une catégorie et qui fait que l'on a des attentes stéréotypées et normatives envers certains rôles sociaux est basée sur :
a La personne
b La personnalité
c La catégorie d'appartenance
3. Lorsque je connais une personne, que je sais qu'elle a des habitudes et que j'ai des attentes sur ce qu'elle va faire, c'est basé sur :
a La proximité
b La connaissance
c La personne
4. Lors des attentes centrées sur la personne, plus le comportement est inattendu, *** on fait une inférence correspondante dispositionnelle.
5. Dans la vie de tous les jours nous avons en fonction du type de situation, des hypothèses d'attribution causales toutes prêtes. C'est le modèle :
a De l'attribution antipathique
b De l'attribution empathique
c De l'attribution pragmatique
6. Qu'est-ce que le biais d'auto-complaisance ?
a Un biais que nous faisons en tant qu'acteur sur les situations.
b Un biais d'auto-attribution quand on explique qqc qui nous arrive.
c On attribue notre succès à des causes internes et notre échec à des causes externes.
d Les 3 réponses sont justes.
7. Quelles sont les 2 raisons pour lesquelles on retrouve un biais d'auto-complaisance ?
a Raisons conatives - motivationnelles
b Raisons cognitives - conatives
c Raisons motivationnelles - cognitives
8. Dans la mesure où les gens s'attendent à réussir et donc où le succès est quelque chose d'attendu; ou au contraire l'échec est contraire à nos attentes donc on cherche des causes externes, ce sont les raisons :
a Motivationnelles
b Cognitives
9. Les raisons motivationnelles sont relatives à la valorisation du soi.
10. Qui part du principe qu'il y a 2 étapes dans le biais d'autocomplaisance ?
a Hansen
b Gollwitzer
c McGillis
11. La première étape :
a Les résultats obtenus sont sur la base de nos expériences passées.
b Va déclencher des affects positifs ou négatifs.
c Les 2 réponses sont justes.
d Les 2 réponses sont fausses.
12. La deuxième étape :
a L'état affectif de la première étape va provoquer des attributions différentes pour protéger l'estime de soi.
b Si l'état affectif est de faible intensité à l'étape 1, alors on n'observe aucune raison de faire un biais d'autocomplaisance.
c Les 2 réponses sont justes.
d Les 2 réponses sont fausses.
13. Qu'est-ce que l'effet résiduel de l'excitation physiologique ?
a Le fait de mal interpréter un état physiologique et l'attribuer à une cause externe.
b Le fait de mal interpréter un état physiologique et l'attribuer à une cause interne.
c Le fait de mal interpréter un état physiologique et l'attribuer à une autre cause que la cause réelle.
14. La tendance des acteurs à attribuer leurs actions à des causes externes, alors que les observateurs ont la tendance à attribuer ces mêmes comportements à des causes internes est :
a Le biais acteur - passif
b Le biais acteur - actif
c Le biais acteur - observateur
d Le biais acteur - attributeur
15. D'après l'erreur ultime d'attribution, quand je dois expliquer des comportements positifs pour mon groupe, j'attribue des causes :
16. Quelles sont les 3 raisons qui nous poussent à cette erreur ultime d'attribution ?
a L'identité du groupe saillante
b Les effets plus marqués en situation de conflit intérieur
c L'EUA est plus forte pour les personnes qui ont des préjugés envers l'exogroupe.
d Les 3 réponses sont justes.
